Il y a toujours des hommes qui marquent de leur forte emprunte indélébile, l'histoire de leur discipline sportive.
Patrick Edlinger était de ceux là.
De ceux là qui élèvent leur pratique au rang de noble art reconnu par tous.
Au Panthéon des sportifs, il se situe au même niveau qu' Éric Tabarly ou Yannick Noah.
Dans la mémoire collective, il a généré autant d'envie que Brigitte Bardot ou Alain Delon.
Dans le milieu de la grimpe, la fascination qu'il déclenchait ressemble à celle de Manolete en Espagne.
Quand un frangin s'en va, on se demande toujours, pourquoi si tôt? et on refeuillette l'album des souvenirs en tentant de comprendre le cheminement de sa trajectoire.
Alors, tentons.
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